lundi 30 janvier 2012

Sans queue ni tête...Un cheval peut-être?

Mais si je vous jure! Il était là pourtant...Un coeur qui bat, il n'y a pas si longtemps. C'est comme se dire qu'on avale une couleuvre, quand on réfléchit ça doit être dur. Comme une orange pas mûre. Sauter d'une chaise et se casser les deux jambes, c'est idiot. Peut-être mais ça m'est déjà arrivé deux fois cette semaine. Pourquoi les gens me regardent ils méchamment dans la rue? L'amour rend nerveux. Moi je les aime bien les gens, et ils me le rendent au centuple avec des cailloux pleins d'émotions de toutes les couleurs.
Il y a un animal trop mûre qui roule sur le plancher du métro. C'est une tortue asymétrique, voir pyramidale. Les gens lui donnent des coups de pied car on est en France et c'est le sport nationale. On voit parfois des choses étranges dans le métro.
Ma foi dans la vie est égale au nombres de mots qui auraient du sortir de ma bouche tout à l'heure. C'était il y a longtemps et je ne sais pas vraiment quoi en faire. Ils dégoulinent aux commissures des lèvres. Je les laisserais sortir tout à l'heure s'ils sont sages. Mes doux agneaux. C'est bien dommage qu'il n'y ait que moi pour en profiter. J'aimerais les cracher à la figure de cette adolescente boutonneuse aux jolies habits. Sa frange me donne chaud.
Penser et écrire. Ecrire et ne rien en penser. Danser, rire, manger. Tout faire en même temps si possible, mais c'est dur, comme l'eau de ma douche. Abreuver ses meubles de paroles mielleuses et se dire que c'est géniale quand c'est sorti. Si j'avais des amis ils souriraient comme ma table basse, je lui raconte n'importe quoi. Moi aussi je souris, parce qu'elle est la seule qui m'écoute discourir sans souscis de début, de fin, de milieu, d'entre-deux, d'entre-chat, d'entracte, d'ambages, d'emballage en somme. Je me laisse aller. Parler pour parler. C'est dommage que ça rende moins bien sur un écran d'ordinateur.
Tokyo Tower! C'est loin mais qu'est-ce que c'est funky. Je regarde sa photo et je fais du break. Une vision satisfaisante de la musique en métal urbain. J'aimerai ne jamais m'arrêter, mais il faut que je donne de l'eau à mon poisson.
Une forêt de pains, dans un pays lointain. Leurs épines rentre dans le palais. Le roi avait pourtant renforcé la sécurité. La garde est débordé de levure et de farine. C'est la faim. Leroy est mort, vive Jenkins! Dans un sens c'est ce qui nous attend tous, et dans l'autre...suot dnetta suon iuq ec tse'C.
C'est souvent en fin de soirée que je me rends compte que personne n'écoute ce que je dis. Mais je le dis souvent dans ma tête aussi. S'ils pouvaient entendre, je me demande ce qu'en diraient les NSYNC. "Julien tu es un type cool...Ne t'arrête jamais." Alors je serais bien embêté du coup. J'attraperai des crampes et je serais tout lyophilisé, mais je serai heureux ça c'est sûr. Parce que j'aime beaucoup Justin Timberlake d'une part.

En conclusion, La funk japonaise ça déchire (merci Ken pour ce lien).

Aucun commentaire: